Printemps des poètes

23 mars 2006

Comme l’hirondelle, le poète revient au printemps
Alors n’hésitez pas, faites comme la demoiselle
Prose intimiste ou poésie universelle
Venez les partager ici par ce beau temps

Bienvenue aux haïkus, acrostiches, proses et poèmes de toutes sortes. Donnez des ailes à vos plumes et rendez-vous dans les nuages !

Jardinière d’étoiles

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Mes ouvrages de référence

Des cadavres exquis

Commentaires

oeil de biche

16/06/2006 16:24

Maman est en train de dormir Et moi ça me fait rire Béa lit un soap opéra Et moi je croise les bras Micky est dans son lit Et moi je m'ennuie **** J'ai envie de manger des macaronis Avant qu'il soit minuit J'ai envie d'aller dehors Mais personne ne sort Je veux regader la télé Mais il y'a pas l'électricité

Micky blue eyes

30/05/2006 15:50

La seule poésie que j'ai écrit dans ma vie c'était un haïku quand j'avais 8 ans : In the jungle There is an armadillo Eating bushes traduction : Dans la jungle Il y a un tatou Qui mange des buissons Et puis j'ai fait un dessin qui allait avec le poème. Micky blue eyes (ingénieur)

ordichounette

30/03/2006 17:57

L'argent Pas besoin de me payer pour te dire : pour un coup d'essai, c'est un coup de maître ! Bravo ! ordichounette

La Jardinière

28/03/2006 00:43

Ma sœur Céline s’habille ‘fashion’ et rêve de rencontrer Paris Hilton. Elle ne s’intéresse pas aux plumes de sa Jardinière de sœur. Néanmoins, je lui ai donné ma méthode pour écrire une poésie et je lui ai demandé de parler d’un sujet qui l’intéresse. Voilà ce qui cela donne : L’argent L’argent ça sent bon Comme un bonbon Le blé ça me plaît J’adore le dépenser Les cartes bleues, C’est bien mieux Jeter l’argent par les fenêtres C’est ne pas le connaître Céline (18 ans)

Jardinière

24/03/2006 21:24

J’ai eu la chance de rencontrer Virginie en janvier 2003. Elle avait quitté sa belle île en mer pour passer un an dans la métropole. Elle m’a inspiré ce poème. Mon amie, ma sœur du Pacifique, tu sais que mon cœur est quelque part dans l’Ile des Pins avec toi. Béatrice Exîle Mon île idéale Ma hutte, mon étoile La lune nouvelle N’a pas coupé mes ailes Et mes pas lestes restent Empreints sur le sable De mes nuits calées, câlines Ma Calédo d’origine Les eaux vierges Où je me baigne en secret Ont su garder le reflet Des clochettes qui s’agitent sur terre Tandis que le sagittaire Se débat dans le gris D’une ville hostile À la caresse amère Aux journées infertiles En digne fille des vagues Je vais, je viens, je m’offre Mais toujours à ton astre Mon âme se réchauffe